Coucou, c’est Eric.

Comme pour chaque lettre que j’écris, je vous garde présent dans mon esprit. Je pense à vous : c’est pour vous que j’écris.

A chaque mot, chaque phrase, je me pose une question, genre : “est-ce que cela a du sens pour mes lecteurs”. Souvent, je mets un prénom dans cette question : “est-ce que ça a du sens pour Martine, pour Laurence…”

C’est pourquoi je tiens à vous remercier, chacun et chacune, du fond du cœur, pour votre fidélité à me lire !

La Lettre Aller Mieux, cette semaine, arrive juste avant la fête de Noël. Les vœux que je vous présente ne seront pas dissociés d’une opportunité de vous aider à intégrer en vous les attitudes essentielles pour aller mieux. Voici de quoi je vais vous parler :

1. Noël, une fête familiale : amour, remerciements, gratitude

2. Ces attitudes spirituelles positives sont une clé pour Aller Mieux. Le corps est connecté à nos pensées. Et vice versa.

3. Cultiver une composante spirituelle pour aller mieux. Pourquoi ? Impacts sur la santé.

4. Plus généralement, notre psychologie impacte nos actes et notre corps.

5. Les effets induits par les actes d’altruisme incluent une réduction du stress, une amélioration du système immunitaire, un sentiment de joie, de paix et de bien-être, et même le soulagement de douleurs physiques ou émotionnelles.

6. Faites du bien, pratiquez la compassion et la gratitude, pour vous-même et pour les autres, voilà ce que je vous souhaite pour cette fête de Noël.

Bonne lecture !

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Je vous souhaite une joyeuse fête de Noël !🎄🎁

Cette période est spécialement importante pour vous souhaiter de très bonnes fêtes en famille.

C’est l’opportunité de donner beaucoup de place aux intentions spirituelles que sont l’amour, la gratitude, les remerciements, et aussi parfois la compassion, et le pardon.

Je vous souhaite vraiment que vous ayez un maximum d’opportunités de le faire !

Car ces attitudes mentales sont au cœur du message que je voudrais vous transmettre tout au long de l’année dans cette lettre Aller Mieux !

Les attitudes spirituelles positives sont une clé pour Aller Mieux

Aller Mieux n’est pas une injonction, ni un conseil. C’est un devoir.

Aller mieux concerne bien sûr la santé. La santé physique, et la santé mentale. Chaque cellule de votre corps est concernée. Chaque pensée fait partie de cette santé.

Mais cela va beaucoup plus loin.

La science a mis en évidence ce fait : pour chaque cellule, l’expression des gènes (l’épigénétique) est soumis à l’influence de son environnement.

Découvrez dans cet article l’importance de l’épigénétique sur votre bien-être :

Cet environnement est à la fois celui qui est intérieur à la personne et celui qui est extérieur à elle.

Intérieur : le paysage émotionnel de la personne, son paysage biochimique, son mental, son énergie, et son paysage spirituel.

Extérieur : l’environnement social et l’environnement écologique dans lequel vit l’individu (nourriture, toxines, rites sociaux, prédateurs, signaux sexuels, phénomènes naturels…)

Ainsi le corps, le mental et l’environnement sont intimement liés par le stress ou par l’eustress. Ces phénomènes déclenchent ou non la production d’hormones et de flux énergétiques dans lesquels les cellules du corps baignent. Par exemple, sous l’effet du stress, les mitochondries de chaque cellule arrêtent la consommation de l’énergie dans la cellule et fabriquent une protéine autour de la membrane, signalant l’état de danger aux cellules voisines.

Ce qui est formidable c’est que tous les moyens que sont le yoga, la méditation, la respiration, l’EFT ou l’hypnose, et bien d’autres encore, contribuent à limiter le stress. Cela va donc aussi limiter les effets négatifs du stress sur nos gènes dans nos cellules (le corps et le mental).

Ces moyens ne s’excluent pas les uns les autres et sont même complémentaires entre eux. Et en plus il y en a beaucoup d’autres : nourriture, sommeil, respiration, exercice physique, sophrologie, etc.

L’importance d’une composante spirituelle pour Aller Mieux

Gail Ironson, professeur de psychologie et de psychiatrie de l’université de Miami, a mené la première étude qui a démontré le lien entre certaines croyances et des changements spécifiques dans le système immunitaire. Sur une période de 4 ans, elle a mesuré les taux de virus HIV et de lymphocites T4 chez ses patients. Elle a découvert qu’il y avait chez les patients souffrant du SIDA deux prédicteurs de la rapidité de développement de la maladie.

Le premier prédicteur était leur vision de la nature de Dieu. Certains patientes croyaient en un Dieu vengeur et juge, et d’autres en un Dieu bienveillant. Elle a observé que ceux qui croient que Dieu est un Dieu juge ont un déclin de leurs taux de lymphocites T4 deux fois plus rapide que ceux qui croient en un Dieu bienveillant. De même, leur charge virale augmente trois fois plus vite.

Le second facteur d’évolution de la maladie concerne la relation personnelle avec Dieu. Les patients qui ne croient pas que Dieu les aime perdent leurs T4 trois fois plus vite que ceux qui croient en l’amour de Dieu. D’autre part, elle a trouvé que ceux qui ressentent un sentiment de paix ont aussi des niveaux plus faibles de cortisol, l’hormone de stress.

L’étude du Dr Ironson a montré une énorme corrélation entre spiritualité et progression de la maladie. Elle résume ainsi : “Si vous croyez que Dieu vous aime, c’est un facteur protecteur énorme, encore plus important que d’avoir un niveau bas de dépression, ou un haut niveau d’optimisme. Une vision de Dieu bienveillant est protectrice, mais avoir un résultat élevé sur une personnalisation de l’affirmation de type “Dieu m’aime” est encore plus puissant.”

Une autre étude a montré que les patients qui croient en un Dieu juge, qui ne les aime pas, qui n’intercède pas pour eux, ou qui ressentent un abandon de leur communauté vont connaître un taux de mortalité de 19% à 28% plus élevé pendant les deux années qui suivent leur sortie de l’hôpital.

La psychologie impacte la physiologie

De la même manière que dans l’étude du Dr Ironson, une autre étude menée en 2007 par l’Université d’Harvard sur 84 femmes de chambre a mis ceci en évidence : contrairement au groupe témoin, le groupe qui a été convaincu lors d’une présentation, que leur travail de femme de ménage correspond à une activité physique de qualité a connu une évolution en 30 jours de la morphologie corporelle.

Ces femmes ont perdu en moyenne 1 kg, abaissé leur tension artérielle de près de 10%, et ont présenté des baisses significatives de pourcentage de graisse corporelle, d’IMC, et de ratio entre tour de taille et tour de hanche.

Les croyances ont un impact sur le physique !

Une autre étude a été menée à l’Université de Médecine du Texas sur des patients subissant une chirurgie cardiaque. Ceux qui avaient un bon niveau de soutien et de pratique spirituelle présentaient un taux de mortalité 7 fois moins important que les autres.

Plus de 1200 études ont été recensées qui démontrent le lien qui existe entre la prière et les intentions d’une part, et la santé et la longévité d’autre part. D’autres études ont montré que la compétence et la ferveur des personnes qui prient ont un effet net sur la personne sujet de la prière. Par exemple, dans une étude, 3 personnes qui sont des guérisseurs ont été comparés à 4 assistants en formation pour mesurer leur capacité à aider au développement de levure dans des tubes à essais. Les résultats ont montré que la concentration mentale des “experts” et leurs intentions ont eu un effet déterminant sur la croissance de la levure. L’analyse fine des résultats à permis de révéler que les probabilités d’obtenir de tels résultats positifs du fait du hasard étaient de moins de 2%. et quand on prenait les résultats individuellement plutôt qu’en groupe, cette probabilité baisse à moins de 4 chances sur 10 000.

Les intentions ont un effet sur les cellules !

L’importance de l’amour, de la gratitude, de la compassion pour Aller Mieux

On n’est pas surpris de vérifier le fait que prier pour quelqu’un lui apporte des bénéfices, validés scientifiquement.

Des études démontrent en plus que la prière apporte aussi des bénéfices à celui qui prie. D’autres études montrent que des actes d’altruisme réguliers prolongent la vie et augmentent le bonheur ressenti.

Dans une étude menée sur 2700 sujets masculins pendant 10 ans, il a été découvert que ceux qui s’engagent régulièrement dans des associations bénévoles ont des taux de mortalité deux fois moins élevés que les autres. “Les effets induits par ces actes d’altruisme incluent une réduction du stress, une amélioration du système immunitaire, un sentiment de joie, de paix et de bien-être, et même le soulagement de douleurs physiques ou émotionnelles.”

De la même manière une étude du HeartMath Institute a mis en évidence que les sentiments de soin et de compassion augmentent la production de facteurs d’immunité. Avec de meilleures réponses immunitaires, ceux qui accomplissent des actions altruistes vivent plus longtemps, en réduisant les probabilités d’une mort précoce de près de 60%.

Faire du bien, pratiquer la compassion et la gratitude permettent d’Aller Mieux

La conclusion que l’on peut tirer de ce passage en revue, assez sommaire, de toutes ces études scientifiques est que réellement, faire du bien, cultiver une attitude de compassion, de gratitude n’est pas simplement moralement satisfaisant. Cela améliore en plus la santé, en affectant les productions d’hormones qui sont des signes de la fabrication dans le corps de centaines de protéines utiles à nos cellules.

C’est pourquoi les vœux que je vous adresse, pour cette fête de Noël, sont des vœux chaleureux pour de belles rencontres en famille, remplies d’amour, de gratitude, et si besoin, de compassion.

ATTENTION

En raison des fêtes familiales, je ne ferai pas de publication le vendredi 27 décembre comme à l’accoutumée.

Mon prochain article vous parviendra dans votre boite mail le vendredi 3 janvier 2025 à 9h00.